Pour ce dernier jour et dimanche de mars, la nature se réveille encore sous la brume. Ce spectacle donne la sensation étrange où le mystère et la magie semblent se rencontrer…
Bon dimanche !
Pour ce dernier jour et dimanche de mars, la nature se réveille encore sous la brume. Ce spectacle donne la sensation étrange où le mystère et la magie semblent se rencontrer…
Bon dimanche !
Cette nuit, nous changerons l’heure. Nous passerons de l’heure d’hiver à celle d’été. Nous avancerons d’une heure et donc nous dormirons une heure de moins.
Si ce changement d’heure cause un effet chez certains, chez d’autres, il n’a aucun impact. Et en ce qui me concerne, il ne changera en rien la merveilleuse et sereine vue que j’ai de ma chambre le matin en me levant…
Pas d’idée. Si ne n’est que l’anagramme humérus du mot humeurs, seule pensée qui m’est venue en l’écrivant, et ces quelques photos de mon bureau…
« L’intelligence artificielle nous met face à de nouveaux défis éthiques : protection de la démocratie, fake news ou encore données personnelles, de nombreux sujets de débats abordés lors du sommet des start-up « Paris, challenger de l’intelligence artificielle » co-organisé par Challenges et Sciences et Avenir, mercredi 27 mars 2019. »
Article écrit par Lucile Rabiet et paru sur le site du magazine Sciences et Avenir le 27 mars 2019 : « Sommet des start-up : Intelligence artificielle et éthique »
À l’heure où les mouvements écologiques battent leur plein sans grands succès, de plus en plus de pays veulent apporter leur pierre à l’édifice afin de combattre la pollution.
C’est le cas du Burundi, pays d’Afrique de l’Est situé dans la région des Grands Lacs, dont il tient un grand rivage sur le Lac Tanganyika. Entouré par la République Démocratique du Congo (RDC) à l’ouest, le Rwanda au nord, et la Tanzanie à l’est et au sud, le Burundi a modifié sa capitale le 21 décembre 2018 qui est désormais Gitega, bien que son ancienne capitale Bujumbura reste la capitale économique du pays.
Sa prise de position a eu lieu en 2018. Sciences et Avenir avec AFP vous l’expliquent dans leur article du 14 août 2018, publié sur le site de Sciences et Avenir.
Vous me direz que c’est une bonne chose. Mais n’est-ce pas un coup d’épée dans l’eau ?
Dans le précédent article Astuce déco écolo, paru sur ce blog à la date du 3 octobre 2018, j’avais déjà évoqué ce « phénomène plastique » qui envahit notre société, et ce depuis des décennies.
Alors que certains ont manifesté récemment à Paris contre le réchauffement climatique, avec téléphone portable dans la main et autres objets pas vraiment écolo, d’autres luttent aussi à leur façon pour la nature, comme les pays cités dans l’article au sujet du Burundi.
Or que ce soit un camp ou l’autre, une manière de faire entendre sa voix ou sa volonté de vouloir faire changer les choses, que faisons-nous, nous, vraiment à titre individuel pour que les choses changent ?
Nous respectons le tri sélectif. Les plastiques, entre autres, dans la poubelle en plastique, mais qui serait biodégradable, dont ces plastiques se retrouvent quand même et encore sur le bord des autoroutes, dans la mer, dans les forêts…
Nous nous laissons entraîner par la mode des produits « bio », dont seuls ceux qui ont un portefeuille relativement bien garni peuvent se les payer. Certains utilisent même une application sur leur téléphone portable leur indiquant le niveau de salubrité du produit à consommer. Action qui quelque part robotise un peu plus l’humain. Car franchement, avons-nous besoin de ce genre d’appli pour savoir si nous mangeons sainement ou pas ?
Nous tentons de quelque manière que ce soit de nous donner bonne conscience à travers telle ou telle action en nous rassurant d’avoir bien fait les choses. Et si rien ne change, nous reportons la faute sur nos gouvernants, qui ont certes leur part de responsabilité mais qui en plus doivent endosser la nôtre.
Lorsque je me dirige vers les magasins alimentaires, je constate systématiquement qu’au moins un caddy possède des détritus, liste de courses oubliée, emballage plastique coincé au fond, parfois épluchure de fruits, cintre en plastique resté accroché sur le devant, etc. Le plus flagrant, les poubelles, dont certaines se retrouvent avec plus de déchets à leur pied que dedans. Quelle est donc ici la responsabilité de nos gouvernants ?
De même, si des canettes en fer diverses, des emballages alimentaires, des bouts de pare-chocs, des pneus, des jantes de voitures… jonchent le long des bas-côtés des routes, dont une portion de l’autoroute A15 en direction de Cergy-Pontoise en est une preuve vivante, est-ce la faute de nos gouvernants ?
N’avons-nous pas, nous aussi, une responsabilité citoyenne au quotidien par nos actes ? Ne pouvons-nous pas modifier nos comportements envers la nature afin de mieux la préserver ? Ne devons-nous pas cesser de jeter nos déchets n’importe où, se disant que ce n’est pas grave, c’est biodégradable ? Ne nous faut-il arrêter de brûler des voitures dont cette fumée toxique pollue un peu plus notre atmosphère… ?
Ce dimanche 24 mars, lors de la 5e édition annuelle du concours Teacher Prize à Dubaï, le professeur de mathématiques et de physique de 36 ans, Peter Mokaya Tabichi, a reçu le prix de « l’enseignant de l’année » de la fondation Varkey. La cérémonie était présentée par l’acteur Hugh Jackman.
Sous une véritable ovation, ce professeur kényan a été élu meilleur professeur du monde en se voyant attribué un prix d’un million de dollars au cours de cette 5e cérémonie du concours Teacher Prize qui s’est déroulée à Dubaï.
« Je suis ici uniquement grâce à ce qu’ont accompli mes élèves. Ce prix leur donne une chance. Il dit au monde qu’ils peuvent tout faire », a déclaré Peter Tabichi en recevant le prix des mains de l’acteur Hugh Jackman.
Passionné par son métier, il est réputé pour sa totale dévotion à ses élèves. Professeur très engagé, il figurait parmi dix autres finalistes. Remportant le prix largement en tête, sa récompense fut loin d’être surprenante au vu de son parcours.
Il a quitté les institutions modernes pour une école secondaire de Keriko dans le village de Pwani au Kenya. L’école surpeuplée et peu équipée réunit des élèves orphelins, avec un seul parent et/ou des élèves vivant dans des conditions de pauvreté élevées. La région est de plus touchée par les mariages forcés et l’abandon scolaire précoce.
Face à ces difficultés, Peter Tabichi a alors décidé de tout mettre en œuvre afin d’assurer un avenir à ses élèves. Depuis des années, il reverse 80 % de son salaire mensuel aux élèves démunis pour qu’ils puissent s’acheter des livres, uniformes, etc., tout le matériel scolaire nécessaire.
Son travail a d’ailleurs déjà porté ses fruits, puisque certains de ses élèves ont excellé lors de compétitions scientifiques internationales.
« Son dévouement, son travail et sa foi dans le talent de ses élèves ont permis à son école, dans une zone rurale reculée et avec peu de ressources, de remporter le prix de la meilleure école aux concours nationaux interscolaires de sciences », a-t-il été précisé dans un communiqué de la fondation Varkey.
« L’Afrique produira des scientifiques, des ingénieurs, des entrepreneurs dont les noms seront un jour célèbres dans le monde entier. Et les filles joueront un rôle important dans cette histoire », a annoncé Peter Tabichi dans son discours de remerciements.
Et il a ajouté que l’intégralité du prix sera consacrée à ses élèves.
Avec de tels hommes, l’Afrique est entre de bonnes mains et son avenir prometteur fera un jour parler d’elle…
Le printemps, c’est la renaissance ! Nous quittons doucement nos manteaux d’hiver pour des tenues plus légères. Notre moral se sent mieux. La nature reprend vie. Les premiers bourgeons apparaissent… Tout se prépare lentement pour s’exprimer ensuite en été.
Et dans le domaine culinaire, nous aspirons également à une cuisine plus aérienne. Pour des idées recettes de printemps, je vous propose alors de faire le plein en consultant le site du magazine Elle sous sa rubrique Elle à table qui vous ouvre son carnet de recettes de saison…
Bon appétit !
Tous les arbres commencent
À fleurir en silence.
Les oiseaux dans leur danse
Volent haut en cadence.
Sous le grand ciel immense,
La nature en nuance
Doucement se balance…
Bon dimanche !
Depuis quelques jours nous avons quitté l’hiver pour entrer dans le printemps. Bien que le début de cette saison soit des matinées brumeuses, dans mon coin de campagne, cette saison annonce l’arrivée des beaux jours, des températures plus clémentes…
Elle marque aussi le changement d’heure où le week-end prochain nous passerons ainsi à l’heure d’été. Ce sera peut-être l’avant-dernier ou le dernier changement d’heure que nous connaîtrons d’ailleurs…
Mais en attendant de nous installer confortablement dans cette saison, je vous souhaite un bon premier week-end printanier !
Ce dimanche 17 mars, l’émission Zone interdite sur la chaîne de télévision M6 a proposé un formidable reportage : Objectif zéro chômeur : l’incroyable histoire d’une entreprise pas comme les autres.
En 2015, né l’extraordinaire projet « territoire zéro chômeur de longue durée » ayant ainsi comme volonté de proposer un emploi en CDI à toutes les personnes au chômage depuis plus d’un an en utilisant les 18 000 € que coûtent leurs allocations à l’État.
C’est à Mauléon, dans les Deux-Sèvres, que commence cette impressionnante aventure. Une Entreprise à But d’Emploi (EBE) dont l’objectif n’est pas de générer des profits mais de créer du travail pour ceux qui en ont besoin. L’ESIAM (Entreprise Solidaire d’Initiatives et d’Actions Mauléonnaise) voit alors le jour. 67 personnes au départ sont embauchées en CDI et payées au SMIC. Parmi elles, un ancien chauffeur routier de 38 ans, père de deux petites filles, qui a perdu sa femme dans un accident de voiture et qui ne parvenait pas à retrouver un emploi à mi-temps conciliable avec ses nouvelles obligations familiales. Il est désormais le comptable de l’ESIAM. Pauline, femme de militaire et coiffeuse, qui suite à une maladie professionnelle ne pouvait plus exercer son métier. Elle s’est retrouvée au chômage à 42 ans. Malgré de nombreuses recherches actives, elle demeurait sans emploi, elle qui pensait ne jamais passer par la case « chômeuse de longue durée » et qui estimait, comme beaucoup, que si l’on veut travailler, on le peut. Aujourd’hui, elle est chargée de prospecter des nouveaux clients pour les nombreuses activités proposées par l’ESIAM. Mohamed, arrivé en France en 1973, a toujours travaillé et ne supporte pas les fainéants. Lorsqu’il s’est retrouvé sans emploi, il a vécu son chômage « comme une prison ». Son fils Adil l’a rejoint. Ils travaillent à la réfection de l’église de Mauléon. Sébastien, vivant du RSA et de l’aide de ses parents depuis trois ans, suite à un handicap aux jambes, est à la tête de la communication de l’ESIAM. De nombreux autres encore au profil similaire et bien différent ont retrouvé grâce à l’ESIAM l’espoir, la confiance en eux, le sentiment de servir à quelque chose et surtout la fin de mois difficile qui n’est plus.
Tous les corps de métier sont représentés. Ces « chômeurs de longue durée » ont bâti cette entreprise, leur entreprise ; l’idée étant de mettre l’entreprise au service des employés et non l’inverse. Investis de tout leur cœur, de la création à l’évolution qui ne cesse de jour en jour de progresser, ces individus qui étaient cloisonnés dans l’exclusion sociale ont su prouver qu’ils ont leur place dans une société qui les a bannis.
Depuis trois ans, dix communes de France sont concernées par ce projet. « L’histoire d’un rêve collectif devenu réalité ». De 2015 jusqu’à nos jours, l’équipe de Zone Interdite a suivi cette formidable initiative qui devrait se développer. Cent-cinquante autres villes veulent prochainement faire partie de l’aventure.
Remis sur les rails de la vie active, les anciens chômeurs sont encouragés à retrouver un emploi plus classique, avec l’assurance d’être réembauchés par l’ESIAM en cas de souci. Sébastien, d’ailleurs, rêve d’ouvrir une chambre d’hôte.
Ce reportage est passionnant et très touchant. Ces personnes considérées par le système social comme devenues inemployables nous donnent une sacrée gifle, sans le vouloir, à travers leur témoignage poignant et leur parcours de vie qui nous laissent sans mot. Ils nous font prendre conscience aussi, malgré eux, qu’ils peuvent être vous, moi, n’importe qui et tout le monde.
Zone interdite fait le bilan de cette initiative et pose la question de repenser notre vision sur la manière dont notre monde professionnel actuel fonctionne. Ce système d’un genre complètement nouveau est-il la vraie solution au problème du chômage ?
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