Ragnarök

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« Dans la mythologie nordique, le Ragnarök renvoie à une fin du monde prophétique comprenant une série d’événements dont un hiver de trois ans sans soleil (Fimbulvetr), suivi d’une grande bataille sur la plaine de Vígríd. La majorité des divinités comme Odin, Thor, Freyr, Heimdall et Loki, mais aussi les géants* et la quasi-totalité des hommes y mourront, une série de désastres naturels verront ensuite le monde submergé par les flots et détruit par les flammes. Une renaissance suivra, où les dieux restants, dont Baldr, Höd, et Vidar, rencontreront Líf et Lífþrasir, seul couple humain survivant et appelé à repeupler le monde. Le Ragnarök est un thème important dans la mythologie nordique. Il est principalement relaté dans l’Edda poétique, en section de la Völuspá, probablement écrite par un clerc islandais après l’an mil, mais aussi dans l’Edda de Snorri, rédigée au 13e siècle par Snorri Sturluson, qui s’est lui-même inspiré de l’Edda poétique. » Cf . Wikipédia.

* « Le jötunn ou les jötnar (vieux norrois signifiant « géants ») sont, dans la mythologie nordique, des créatures humanoïdes personnifiant les forces de la nature, dotées d’une force impressionnante ainsi que, parfois, des pouvoirs divins comme celui de la métamorphose et de l’illusion. Ils sont à la fois prédécesseurs, parents et ennemis des dieux et vivent habituellement à Jötunheimr où ils sont séparés de Midgard, le monde des humains, par de hautes montagnes ou des forêts denses. Tous les jötunn sont les fils d’Ymir, le géant hermaphrodite des origines selon la cosmogonie nordique. De sa sueur, Ymir enfanta un mâle et une femelle, et de l’union de sa jambe gauche et droite naquit un fils. Les géants de Jötunheim sont en guerre perpétuelle contre les dieux, qui sont généralement menés par Thor dans leur lutte. Ce sont des créatures chaotiques, par opposition aux dieux qui représentent l’ordre. Pendant le Ragnarök, les géants seront au premier rang de la bataille pour assaillir les dieux, et c’est le géant du feu Surt qui détruira l’ensemble des mondes avec son épée flamboyante. Plus tard, dans le folklore scandinave, les trolls reprennent bon nombre des fonctions de la notion plus ancienne de « géant ». » Cf. Wikipédia.

C’est aussi est une série télévisée fantastique dano-norvégienne créée par Adam Price, dont la première saison est sur Netflix.

La ville fictive norvégienne d’Edda est altérée par la pollution industrielle et le réchauffement climatique, jusqu’à ce qu’un garçon Magne (David Stakston) aux pouvoirs de Thor commence à combattre ce qui risque de détruire la planète.

Cette première saison est tout simplement géniale ! À découvrir absolument ! J’attends avec impatience la seconde saison.

« Woman »

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Le 4 mars prochain sort au cinéma le film Woman. Un documentaire profond qui plonge au cœur de l’univers des femmes. Avec subtilité, ce documentaire donne une vision de ce qu’être une femme dans le monde d’aujourd’hui.

Durant 4 ans, à travers 50 pays, la journaliste Anastasia Mikova et le photographe Yann-Arthus Bertrand ont réalisé des interviews de 2000 femmes résultant d’un film émouvant et juste.

Regarder le monde avec les yeux d’une femme.

« Quand on a démarré, je me suis demandé en tant que femme s’il y avait quelque chose qui nous unissait toutes, au-delà des frontières et des langues. L’idée, c’était d’avoir ce mélange de sujets très universels, qui touchent toutes les femmes et où chacune d’entre nous aurait quelque chose à raconter […] Yann en tant qu’activiste était beaucoup sur la dénonciation des injustices que les femmes subissent, qui sont encore très nombreuses. Pour moi, au départ, il fallait aller plus loin, plus vaste, que ce soit un projet plus profond. Pour cela, il fallait donc qu’on montre des choses beaucoup plus intimes, personnelles : le rapport au corps, les règles, la sexualité », déclare Anastasia Mikova.

« Il y a des sujets que je voulais faire qui n’ont pas marché, par exemple le divorce en Israël. Là-bas si tu veux divorcer il faut que le mari soit d’accord. Mais une fois là-bas on n’a pas trouvé la bonne personne pour en parler », raconte Yann-Arthus Bertrand. « Pour ce film, c’était normal qu’il y ait des femmes au gouvernail, il n’y avait que des femmes qui pouvaient poser les questions. Mais ça je l’avais compris depuis le départ », ajoute Yann-Arthus Bertrand.

« Il y a un effet miroir très fort, où toutes les femmes se reconnaissent dans ces histoires alors que très souvent cela n’a rien à voir avec notre vie. Pourtant d’une façon ou d’une autre, on se sent connecté à toutes ces femmes au bout du monde. Les journalistes avec qui on a travaillé m’ont dit exactement la même chose, qu’elles ont ressenti ce lien invisible avec des femmes de l’autre bout du monde qui n’ont rien à voir avec notre vie. Quand on parle de sororité, c’est peut-être le mot qui peut exprimer ça le mieux, c’est difficile de l’exprimer avec des mots, c’est au niveau des émotions et des sensations que ça se passe », précise la journaliste.

« Tous les hommes qui ont vu le film ont dit qu’ils ont pris une claque et découvert énormément de choses ! », note le photographe.

Certains passages évoquent des réalités plus dures, comme l’excision, le viol de guerre, les violences conjugales. Mais les femmes ne sont jamais présentées en victimes.

« Une femme qui a vécu des violences, c’est aussi une mère, c’est aussi une femme qui travaille, qui a une sexualité… Elles aussi étaient très heureuses car elles ne se sentaient pas enfermées dans des cases pour une fois. Elles sentaient qu’on était là pour elles dans leur intégralité et pas pour un sujet en particulier. D’ailleurs, il y a beaucoup de femmes qu’on est venu interviewer sur un sujet et qui sont dans le film avec complètement autre chose, et je trouve ça génial », explique Anastasia.

Dans Woman, il ne s’agit pas de la femme mais d’une diversité d’expériences des femmes en tant qu’être. Le A du titre transformé en E signifie women are a woman, chacune avec son histoire singulière et universelle à la fois.

Ce documentaire a été réalisé avec l’aide d’ONG locales afin de recueillir les paroles de ces femmes ainsi que garder un contact avec elles afin qu’elles soient à l’aise avec leur image publique.

Mais c’est aussi le film des ONG qui ont permis de mettre en lumière les témoignages qui sont de réelles célébrations des femmes.

Les recettes engendrées par le film, préalablement financé par des partenaires, iront à l’association WOMAN(S) créé par Yann-Arthus Bertrand et Anastasia Mikova. Woman On Media And News School forme des femmes du monde entier aux métiers des médias. Un livre accompagne également la sortie du film, afin de pouvoir retrouver toutes ces femmes interviewées, en plus d’articles et de témoignages qui éclairent la situation des femmes dans les différents pays du globe.

« WOMAN est un projet mondial qui donne la parole à 2 000 femmes à travers 50 pays différents. Cette très large échelle n’empêche pas le film d’offrir un portrait véritablement intimiste de celles qui représentent la moitié de l’humanité.
Ce documentaire est l’occasion de révéler au grand jour les injustices que subissent les femmes partout dans le monde. Mais avant tout, il souligne la force intérieure des femmes et leur capacité à changer le monde, en dépit des multiples difficultés auxquelles elles sont confrontées. WOMAN, qui repose sur des entretiens à la première personne, aborde des thèmes aussi variés que la maternité, l’éducation, le mariage et l’indépendance financière, mais aussi les règles et la sexualité.
À travers ce film, vous découvrirez la parole des femmes comme vous ne l’aviez jamais entendue auparavant. » Allociné.

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Katherine Johnson, une figure emblématique de la NASA est décédée

Katherine Johnson Portrait
1918 – 2020

Ce 24 février, la mathématicienne et informaticienne américaine Katherine Johnson est décédée à l’âge de 101 ans. La NASA a rendu hommage à son génie indispensable à ses multiples missions, à la cause féminine ainsi qu’à celle des minorités pour lesquelles elle n’a eu de cesse de se battre.

Elle a effectué des calculs manuels pour de nombreuses missions spatiales de la NASA pour laquelle elle a également écrit 26 rapports de recherche.

Femme de couleur, elle a su, par son intelligence et sa persévérance, se faire une place dans un milieu d’hommes blancs.

Portrait d’une femme d’exception par Héloïse Chapuis. Sciences et Avenir.

« Koh-Lanta : l’île des héros » ?

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Koh-Lanta, l’émission tant connue sur la chaîne de télévision TF1 est de retour. Et le moins que l’on puise dire, elle démarre sur les chapeaux de roues.

La production de cette émission aurait pu intituler cette nouvelle session l’île du bois ou du feu éteint.

Dans ce premier épisode, certains candidats ont tapé fort. Joseph, un prénom prédestiné, loin d’être charpentier, mais un vendeur de meuble (il reste dans le bois), s’est pris la tête pendant trois jours pour faire du feu qu’il a finalement éteint. Du jamais vu ! Et ce qui lui valu, entre autres, son élimination.

Sam, le benjamin des participants, étudiant en ébénisterie (dans le bois aussi), a joué le maître d’œuvre en bâtissant une cabane pouvant accueillir l’ensemble des équipes rouge et jaune, cameramen, secouristes, médecins, voire les producteurs et les autres. Restera-t-il du bois dans la forêt après son passage ?

Et il y a Ahmad qui lui n’est pas dans le bois et pas non plus dans l’eau. Sa phobie de l’eau a coûté la perte du premier jeu d’immunité à son équipe puisqu’elle a dû déclarer forfait. Participer à un jeu où la majorité des épreuves se réalisent dans l’eau lorsque l’on peine à nager et a une peur viscérale de l’eau est quelque peu antinomique. Le plus aberrant est d’y aller en connaissance de cause. Et du jamais vu d’ailleurs l’abandon d’une épreuve !

Ce Koh-Lanta nous promet des surprises semble-t-il ! De quoi nous mettre en forme ! La suite au prochain numéro.

« Danemark : dérives extrémistes au pays de la tolérance »

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Ce 23 février sur la chaîne de télévision M6 l’émission Enquête exclusive, présentée par Bernard de la Villardière, a proposé un reportage : « Danemark : dérives extrémistes au pays de la tolérance ».

Le Danemark a été élu le pays le plus heureux du monde par l’ONU en 2019. Ce petit pays de 6 millions d’habitants s’est érigé en modèle par ses aides sociales, ses libertés, ses fêtes débridées, son ouverture aux minorités et son sens de l’accueil auprès des communautés étrangères. Sa capitale Copenhague est l’une des villes les plus agréables à vivre.

Mais aujourd’hui ce modèle semble être à bout de souffle. L’affaire des caricatures de Mahomet, publiées par un journal danois en 2005, avait déjà mis le feu aux poudres dans de nombreux pays arabes. Ces dernières années, l’afflux d’immigrants venus du Proche et Moyen-Orient a braqué une partie de la population danoise. Certaines communautés, qui auparavant vivaient bien ensemble, se provoquent et s’affrontent ouvertement.

Sous l’influence d’une extrême droite aux discours plus que provocateurs, voire haineux et discriminatoires, le gouvernement et le Parlement ont durci la législation. Des lois sévères et répressives ont été votées pour condamner tous ceux qui n’adhèrent pas au pacte social danois, dont la principale cible est les communautés immigrées.

Baisse des allocations pour les réfugiés, peines de prison doublées pour les étrangers, multiplication des camps de rétention pour les migrants, où les familles sont parfois confinées en semi-détention durant plusieurs années. L’État a même annoncé la création d’une prison pour les étrangers indésirables. Sur une île située en mer Baltique, la prison Lindholm est déjà comparée à un camp de concentration. Le projet fait scandale bien au-delà des frontières du Danemark.

Des quartiers hippies aux fêtes les plus délirantes, des cités HLM aux centres de rétention pour réfugiés, Enquête exclusive s’est penchée sur un modèle danois victime de ses paradoxes.

À découvrir ou revoir sur 6play.

Recettes de cuisine normande

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Chaque région française possède ses spécialités culinaires traditionnelles. En Normandie, ma région, nombreux plats typiques offrent toutes leurs saveurs. Bien que cette cuisine soit assez calorique avec sa crème fraîche et son beurre présents dans ses préparations, elle se veut toutefois gourmande.

Les fromages font tout autant la réputation de cette région avec son célèbre Camembert, Livarot, Pont-l’Évêque ou encore Neufchâtel. Mais aussi ses alcools, comme le Calvados, le Cidre et le Pommeau, qui mettent en valeur son terroir, ainsi que ses pommes, utilisées dans ses préparations sucrées et salées.

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Vous trouvez ainsi la fameuse escalope à la crème, le lapin au cidre, les tripes à la mode de Caen, sa célèbre tarte aux pommes et bien d’autres plats traditionnels…

Si vous souhaitez découvrir ou redécouvrir cette cuisine typique, rendez-vous sur le site cuisineaz qui vous propose « 15 spécialités normandes ».

Bon appétit !

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Marsupialia

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Les Marsupialia (du grec ancien μαρσίπιον / marsipion, littéralement « petit sac ») ou plus communément appelé les marsupiaux, forment une infra-classe de mammifères thériens caractérisés par leurs progénitures qui se développent dans un état larvaire au sein d’un marsupium ou « poche marsupiale ». Ce taxon regroupe des animaux d’une diversité large allant du kangourou à l’opossum de Virginie jusqu’au diable de Tasmanie. Nombreuses autres espèces sont moins connues, comme le chat marsupial (dasyure), et beaucoup ont disparu. Les marsupiaux se distinguent des placentaires et des monotrèmes (ovipares et mammifères).

La position cladistique des marsupiaux au sein des mammifères a longtemps été un sujet de débat. La plupart des classifications préfèrent désormais les inclure dans l’infra-classe des Metatheria*. Certains auteurs ont considéré les termes Metatheria et Marsupialia comme synonymes. Or, des découvertes paléontologiques au début du 21e siècle tendent à estimer les marsupiaux en tant que sous-groupe ou cohorte réunissant les Metatheria actuels. Plus de 290 espèces différentes de marsupiaux sont connues.

*Les métathériens (Metatheria) constituent le clade des mammifères thériens regroupant les marsupiaux et toutes les espèces plus proches de ces derniers que des placentaires. Ils représentent le taxon frère des euthériens, dont ils se seraient séparés il y au moins 147,4 millions d’années d’après l’horloge moléculaire. D’après les registres fossiles, ces deux taxons auraient divergé au Jurassique il y a au moins environ 160 millions d’années.

Réf. Wikipédia.

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Ces photos ne m’appartiennent pas. Si elles sont soumises à des droits réservés et que leurs auteurs souhaitent qu’elles n’apparaissent plus sur ce blog, je les retirerai sur leur demande.

Bon dimanche !

Macroscelidea

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Les macroscélides (Macroscelidea) forment un ordre de mammifères placentaires qui ne comprend qu’une famille, les macroscélididés (Macroscelididae), des petits mammifères à long nez, autrefois classée parmi les insectivores. En raison de leur cæcum intestinal, ils sont apparentés tout d’abord aux glires (regroupant les lagomorphes (lièvres, lapins et pikas) et les rongeurs (souris, rats, écureuils, loirs, castors, etc.)), mais selon les analyses génétiques, ils sembleraient appartenir aux afrothériens (super-ordre de mammifères placentaires, comprenant entre autres les taupes dorées, les macroscélides (musaraignes à trompe), les tenrecs, les tubulidentés (oryctéropes), les hyracoïdes (plus communément les damans), les proboscidiens et les siréniens).

Ces animaux sont connus sous le nom de Musaraignes à trompe, Sengis ou Rats à trompe. Ils vivent dans les prairies, savanes ou en bordure des zones forestières et se déplacent en bondissant comme les gerboises.

Ils se trouvent en Afrique subsaharienne, en dehors du Macroscélide d’Afrique du Nord.

Réf. Wikipédia.

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Rhynchocyon petersi – Photo Wikipédia
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Macroscélides proboscideus – Photo Wikipédia

Ça pique !

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Le hérisson est l’ami des jardins. Celui d’Europe est un animal protégé, dont les jardiniers apprécient son aide puisqu’il dévore inlassablement les escargots, les araignées, les vers et autres insectes nuisibles.

« Hérisson est un nom vernaculaire qui désigne en français divers petits mammifères insectivores disposant de poils agglomérés, durs, hérissés et piquants. Ce nom dérive du latin ericius.
Les espèces les plus connues des francophones sont le Hérisson commun (Erinaceus europaeus) et le Hérisson oriental (Erinaceus concolor) mais il existe d’autres « hérissons » sur divers continents, y compris en Asie un genre apparenté mais dont les représentants sont dépourvus de piquants : les gymnures. Ces espèces sont parfois très éloignées sur l’arbre phylogénique, mais se ressemblent par convergence évolutive. Plusieurs espèces comme le Hérisson de Madagascar ou « tangue » sont encore consommées dans l’océan Indien, y compris à La Réunion, d’autres sont au contraire protégées. » Déf. Wikipédia.

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Une lignée fantôme cachée dans l’ADN

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« Une ancienne lignée fantôme « archaïque » toujours tapie dans l’ADN moderne ».

« Des chercheurs ont mis le doigt sur des gènes inconnus chez plusieurs populations d’Afrique de l’Ouest. Ils pourraient être la trace d’un ancêtre fantôme à propos duquel la science ne sait encore rien. »

Par Coralie Lemke, journaliste spécialisée en santé. Sciences et Avenir.