12 mars 1930

12 mars 1930_début-marche-du-sel-gandhi-inde_wp

By CR

Gandhi démarre la Marche du sel dans le but d’obtenir l’indépendance ou l’autonomie de l’Inde. Parti de son ashram, il parcourt 386 km à pieds pour arriver à l’océan Indien le 6 avril. Il y recueillera un peu de sel, une manière symbolique de contrer le monopole d’État sur la distribution du sel.

Les poudres indiennes

Les poudres indiennes_wp

By CR

Peu connues dans notre monde occidental, les poudres indiennes sont utilisées comme des soins pour la peau et les cheveux. Certaines d’entre elles commencent à s’intégrer à nos cosmétiques.

Dans la tradition ayurvédique (relatif à l’ayurveda qui est une médecine traditionnelle de l’Inde reposant sur une harmonisation du corps et de l’esprit ainsi que de la personne avec son contexte extérieur environnant), ces poudres sont ainsi employées pour leurs vertus, notamment :

  • La poudre d’alma ;
  • La poudre de Neem ;
  • La poudre de Tulsi ou Basilic sacré ;
  • La poudre de Shikakaï ;
  • La poudre de Brahmi.

Le site aufeminin s’est intéressé à ces cinq poudres, dont Jean-Louis Poiroux, co-fondateur de la marque Cinq Mondes, en révèle leurs propriétés dans l’article de Stéphanie Kohen.

Viol collectif et crémation d’une jeune femme en Inde

Viol collectif et crémation d'une jeune femme en Inde_globe-ange_wp

Le 30 novembre dernier, dans le Sud de l’Inde, des centaines de personnes ont manifesté devant le commissariat d’Hyderabad pendant l’audition de quatre hommes suspectés d’enlèvement, de viol en réunion et de meurtre d’une jeune indienne, Priyanka Reddy,

Cette vétérinaire de 27 ans avait disparue le mercredi précédent. Alors qu’elle sortait de son travail, les suspects auraient crevé les pneus de son scooter avant de lui proposer leur aide, selon la police. Priyanka Reddy aurait prévenu sa sœur, se disant « effrayée » par la situation. Les restes de son corps carbonisé ont été retrouvés le lendemain matin.

Le Premier ministre de l’État du Rajasthan, Ashok Gehlot a déclaré sur Twitter que « les coupables devaient recevoir le châtiment le plus ferme ».

Quant au ministre de Telegana, État dans lequel ont eu lieu les faits, il a estimé que la victime aurait pu être sauvée si elle avait appelé la police plutôt que sa sœur. En réponse à ces propos, Swati Maliwal, à la tête de la Commission des femmes à Delhi, s’est insurgée : « Maintenant ont fait porter la faute à la victime ».

Une activiste venue manifester seule devant le Parlement a témoigné auprès de la presse locale : « Cette femme est morte, d’autres filles sont mortes aussi. Toutes les 20 minutes, il y a un viol en Inde. Je ne veux pas mourir ».