Une forme pas informatique

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By CR

Coucou les amis !

« J’ai un problème, j’ai bien peur que je t’aime… », comme dit la chanson. Sauf que ma peur n’est pas ici, puisque justement, je n’arrive plus à avoir accès au bouton J’aime de vos blogs, ainsi qu’à votre section des commentaires. Et cela depuis plusieurs semaines déjà. À la place, le mot WordPress s’affiche suivi en dessous du terme chargement… qui charge, qui charge… encore et encore… pendant des heures et rien ne se passe !

N’ayant relativement pas eu vraiment le temps de m’en occuper durant cette période, maintenant je vais m’en préoccuper attentivement.

Ne voulant ainsi pas vous paraître distante vis-à-vis de vos sites, je tenais à vous informer de ce souci qui commence sérieusement à me courir sur le haricot !

Ne m’en voulez donc pas si la petite bouille de mon avatar est absente de votre ligne des abonnés qui ont aimé vos articles.

Je vais essayer de résoudre ce problème tant que faire se peut. Je ne suis pas une pro de l’informatique. Sachant que mon ordinateur, tout comme moi, vieillit, déjà presque dix ans que je l’ai, il est peut-être la source du problème. Si tel est le cas, il faudra patienter jusqu’au mois d’octobre pour un nouveau pc. Hé oui ! J’attends mon anniversaire.

En attendant, je vais tenter de trouver une solution. Je suis également preneuse de toute idée que vous pourriez m’apporter. J’en profite de même pour vous assurer, si besoin est, de mon entière fidélité à vos articles que je lis quotidiennement avec toujours autant d’intérêt, bien que je ne puisse vous transmettre cette attention.

Alors, ne pouvant pas de manière plus concrète vous le faire savoir, je vous l’écris ici…

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…vos blogs et toute la passion que vous y mettez.

Bonne continuation à vous tous et toutes et à bientôt, je l’espère !

Disney+, plutôt Disney-

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By CR

Au cours de la période des fêtes de cette fin d’année 2021, une offre promotionnelle d’abonnement d’un an à la plateforme en ligne de vidéo à la demande Disney+ m’a été proposée. L’offre était intéressante. Je me suis alors dit pourquoi pas ?

Quelle déception par rapport à son concurrent Netflix. Peu de nouveauté dans les vidéos proposées par Disney+. Le site est très mal organisé. L’obligation de mettre dans la rubrique ma liste la série que l’on est en train de regarder. On ne la retrouve jamais directement sur le site lorsque l’on veut la continuer. Plantage régulier lors du passage d’un épisode au suivant. On doit se reconnecter au site, repasser par la rubrique ma liste pour retrouver l’épisode. Pas de notification sur les nouveautés à venir, ni de suggestion en relation avec le film ou série que l’on vient de visionner.

Bref. Pas vraiment top. Je terminerai donc mon année chez Disney+, sans renouvellement par la suite. Je reste et resterai fidèle à Netflix qui, lui, est réellement un super site de qualité.

Une lanceuse d’alerte contre Facebook

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« L’ancienne employée a révélé des documents internes accablants prouvant que Facebook sait très bien tout le mal que peut faire le réseau social. Après un témoignage sur CBS, Frances Haugen doit être entendue au Sénat américain ce mardi 5 octobre 2021. » Par Arnaud Devillard. Sciences et Avenir.

Les jeux de guerre

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Un article d’une copine blogueuse Less is more à découvrir absolument au sujet de « ces jeux qui consistent à tuer les autres… »

Un sujet fort intéressant, comme beaucoup d’autres d’ailleurs, qui a tendance à passer au second plan dû au Covid-19 qui détient le rôle principal au niveau des actualités.

Dans son article, elle justifie avec sincérité et élégance son dégoût pour les jeux en tout genre qui incitent les individus à s’entretuer. Que ce soit au travers des jeux vidéos, des jeux virtuels en salle, style paintball, etc., elle pointe du doigt un phénomène sociétal, qui ne date pas d’aujourd’hui, ceci dit, ces jeux qui consistent à tuer les autres.

Elle exprime ainsi son ressenti par rapport à cette mode ludique des gens vivant dans des pays où il y fait bon vivre qui « s’amusent » à se faire la guerre, alors que tant d’autres de nos congénères survivent sous l’assaut des bombes et des dictatures.

Que dire ?

Elle a raison !

Ces jeux de violence, qui suscitent parfois un certain intérêt médiatique, demeurent toujours dans le quotidien de notre monde aisé. Un monde dans lequel nous ne subissons plus la guerre et ses méfaits.

Qu’y a-t-il d’amusant dans le fait de s’entretuer virtuellement ? Pose-t-elle la question ? Est-ce naturel ? Selon des psychologues qui estiment que notre violence intrinsèque doit bien sortir d’une façon ou d’une autre, alors pourquoi pas de cette manière ? Est-ce culturel ? Selon d’autres qui pensent que cette partie de notre nature primaire, effectivement intrinsèque, est exacerbée par ces jeux ?

Les deux théories se défendent.

Sauf que…

À qui les sociétés confortables économiquement, donc financièrement parlant, inculquent-elles ces jeux de guerre ?

Aux garçons !

Dès la plus tendre enfance, et ce malgré la soi-disant évolution éducative, les garçons continuent à jouer « aux cowboys et aux indiens », et les filles, à la « poupée ». On offre toujours des jouets de « guerre » aux garçons et des « Barbie » aux filles. Les garçons se voient recevoir des jeux vidéos dans lesquels ils doivent combattre, détruire, etc. ou des avions de chasse en maquette, par exemple, dans le meilleur des cas. Les filles ont du vernis à ongle, du maquillage, une cuisinière en jouet, une fausse machine à coudre, etc. En gros, les garçons formés pour le combat, la fille, pour être une bonne ménagère à la maison.

En résumé, rien ne change !

Les stéréotypes demeurent bien ancrés dans toutes les sociétés qui sont finalement en guerre ou pas.

Donc, la violence est effectivement naturelle, dans le sens où notre instinct primaire animal demeure, mais elle est surtout culturelle, du fait que nous sommes, tout de même, le dernier maillon de la chaîne alimentaire d’un point de vue intellectuel.

Alors finalement, à quoi notre intellect supérieur nous sert-il si nous continuons à nous comporter pire que des animaux, dit-on sauvages ?

« Voix De Renard »

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Un nouveau coup de cœur pour ce blog découvert récemment : Voix de Renard, dont son auteur Romy, une jeune femme de 26 ans, actuellement en formation pour devenir auxiliaire vétérinaire, est passionnée par « la faune sauvage et la mythologie asiatique ».

Elle propose ainsi sur son blog de partager avec vous ces et ses deux passions.

Hé bien ! Pour ma part, pari réussi !

Ses articles sont très intéressants et d’une limpidité de compréhension sans conteste. Elle nous emmène dans son univers où le voyage est au rendez-vous. On apprend tout en s’amusant. Elle nous promet d’ailleurs dans sa présentation des articles « ludiques » et « concis ». Promesse tenue !

Embarquez-vous alors sur la voie de la Voix De Renard pour une traversée fantastique du monde naturel, mais aussi surnaturel de notre belle planète bleue…

N. B. : Cette photo ne m’appartient pas. Si elle est soumise à des droits réservés et que son auteur ne souhaite plus qu’elle apparaisse sur ce blog, je la retirerai sur sa demande.

« Pandora Black »

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Pandora est une exolune de l’univers de fiction d’Avatar. Il s’agit de l’un des satellites de la géante gazeuse Polyphème qui orbite autour d’Alpha Centauri A.

Au vu de cette définition relative donc au très célèbre film Avatar, réalisé par le tout autant distingué James Cameron, sorti en 2009, on pourrait croire que Pandora Black représenterait le côté obscur de la belle Pandora, à l’image de Dark Vador.

Hé bien ! Pas du tout !

Il s’agit d’un blog que j’ai découvert grâce à Mébul qui l’a référencé sur le sien. Plus précisément, l’un des articles très singulier de Pandora Black : « Le bruit et la fureur ».

Après la lecture de cet article, la première pensée qui m’est venue : « Waouh, ça déménage ! » Dans quel sens du terme, je ne le sais pas trop encore ?

Curieuse, j’ai alors exploré son blog. Certains articles sont du même acabit, du genre ça broie du noir à fond. D’autres, en revanche, laissent entrevoir le blanc du yin. Quoi qu’il soit, ce blog n’est certainement pas recommandé pour un ado en mal de vivre ayant une tendance suicidaire, sinon il franchit le pas direct. Mes propos ne sont absolument pas un jugement, mais un ressenti de tristesse de constater qu’une jeune femme, dans la vingtaine d’années me semble-t-il, soit si désabusée par la vie à son âge.

En parcourant ses écrits, je me suis retrouvée à l’adolescence. La vie est sombre, rien ne va, on ne sent ni à sa place ni bien dans son corps, on veut tout et son contraire… la voie de la mort semble alors être la plus prometteuse, façon de parler.

Comme l’a remarqué Mébul, il n’y a pas de possibilité de laisser des commentaires suite à ses articles. Je suppose que c’est volontaire, peut-être. Je comprends. L’envie de hurler sa rage sans qu’on la commente. Peu importe. Ça n’a pas vraiment d’importance.

Je ne lui tiendrais pas les discours d’un psy par rapport à son enfance, ses potentiels traumatismes vécus ou pas, etc. Sa vie, c’est sa vie. Elle est la seule à décider de livrer ses secrets ou pas. C’est à elle de voir quelle femme elle veut être et/ou devenir.

Oui, la vie, c’est la galère, pour certains, certaines. Mais on a le choix ! On laisse les autres nous bouffer. On leur donne le pouvoir et l’intérêt qu’ils ne méritent finalement pas. Ou l’on décide de se battre pour soi, intelligemment, toujours avec le sourire, ne pas montrer que la vie nous blesse… L’indifférence est le plus grand des mépris, dit-on ? Hé bien, c’est vrai !

Je ne sais pas qui est-elle ? Je vais vers cinquante ans. Ça craint, mais je fais avec. Je n’ai pas les seins qui tombent jusqu’au nombril. Je ne ressemble pas à une vieille peau. J’ai quelques rides et un peu la peau flétrie, certes, mais je m’en fous. C’est le privilège de l’âge. En vieillissant, on ne décatit pas à ce point comme elle le décrit. On se détache du regard des autres. On s’accepte comme l’on est. Qui m’aiment me suivent, les autres, on ne s’en occupe pas.

La mort, c’est facile. Le chemin est court, sans embûche. La vie, c’est plus compliqué. Il faut affronter ses angoisses, ses peurs, ses différences, ses misères… On ne voit pas toujours la lumière au bout du tunnel. On se demande même si elle existe, au point de ne plus croire qu’il pourrait y en avoir une. Mais, la vie est surprenante. Lui dire : « ça ira mieux », c’est stupide. Je ne sais pas si ça ira mieux, juste que ça ira. Ça vaut le coup de se battre, ne serait-ce que pour se prouver à soi-même des choses. La vie nous met parfois face à des situations auxquelles on n’aurait jamais imaginé s’y trouver confronter. Mais lorsque l’on arrive à s’en sortir, par l’intelligence que l’on a cultivée, des plans B, C, etc. que l’on a échafaudés, des astuces que l’on a développées grâce à son esprit, ça vaut tout l’or, les diamants… du monde. Et là, on sait enfin qui l’on est et de quoi on est capable.

Enfin, comme un chat ; apparemment elle aime ces animaux, je les adore, ils nous ressemblent ; on a 7 vies dans 1. Ce n’est pas parce que certaines d’entre elles sont pourries que toutes les autres le sont ou le seront…

P. S. : J’aime cette photo. Mais si elle est soumise à des droits réservés et que son auteur souhaite qu’elle n’apparaisse plus sur ce blog, je la retirerai sur sa demande.

« And What else ? »

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By CR

Il y avait un certain moment que je n’avais eu un coup de cœur pour un blog, bien que les autres blogs soient bien évidemment intéressants. Mais disons que celui-ci me touche plus particulièrement. C’est comme dans tout dans la vie, les goûts et les couleurs… n’est-ce pas ?

Ainsi l’auteur du blog And What else ? demeure discret. Il se dévoile dans se dénuder. Ces textes sont souvent puissants sous un ton léger. Il sait trouver l’équilibre entre force et fragilité. Il exprime les choses de la vie sans les nommer explicitement. Il nous laisse lire entre les lignes d’entre les lignes. Ces mots jonglent sur le papier. Nous sommes comme un funambule qui marche sur le fil de ses écrits où à tout moment nous ne savons si nous allons y rester ou tomber dans le vide.

C’est peut-être cet équilibre précaire que je ressens dans ses articles qui me plaît ? Mais aussi, peut-être, cette sensation de vécu commun qui me sensibilise singulièrement ?

En fait, je ne sais pas. Cet auteur me déstabilise quelque part. Lorsque j’ai découvert son blog, je n’avais absolument aucune idée sur celui-ci. J’étais incapable de dire si j’aimais ou pas. J’étais dans l’expectative, le questionnement, le trouble, presque même d’une certaine façon sur le fil du rasoir.

Alors, j’ai décidé d’ouvrir mon esprit encore plus grand, d’y faire le vide. Puis, je me suis laissée emporter dans son univers. Je me suis plongée dans ses mots. J’ai endossé le costume du funambule et me suis lancée pas à pas sur ce fil en gardant toujours le regard porté sur le vide…

N. B. : La photo en-tête ne m’appartient pas. Si son auteur souhaite qu’elle n’apparaisse plus dans cet article, je la retirerai sur sa demande.