Salir del Ropero

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Salir del Ropero (Les Coming Out, en français) est un film espagnol réalisé par Ángeles Reiné, genre comédie, sorti en 2019, disponible sur le site Netflix.

Une septuagénaire décide de faire son coming-out et d’épouser sa compagne. Mais le chaos qui s’ensuit menace les fiançailles de sa petite-fille…

Une belle petite comédie romantique comme on les aime. Ce sujet de société est traité avec beaucoup d’élégance et de respect. L’humour est au rendez-vous. La tendresse et l’amour aussi. Un bon moment de détente à prendre.

La Loire

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Département français de la région Auvergne-Rhône-Alpes, il doit son nom au fleuve qui le traverse du sud au nord sur plus de 100 km. Les habitants sont appelés Ligériens, dérivé du nom latin du fleuve Liger. Sa préfecture est Saint-Étienne. Limitrophe des départements du Rhône, de l’Isère, de l’Ardèche, de la Haute-Loire, du Puy-de-Dôme, de l’Allier et de Saône-et-Loire, il est très étiré du nord au sud (136 km séparent la commune d’Urbise au nord dans le canton de Renaison et Saint-Sauveur-en-Rue près de Bourg-Argental), mais ne s’étend que sur 50 km de largeur entre les monts du Forez à l’ouest et les monts du Lyonnais à l’est. Sa superficie de 4 781 km2 fait de lui un département plus petit que la moyenne.

Ce département est très riche historiquement parlant. De nombreux sites remontant à la Préhistoire ont été découverts ainsi que des vestiges datant de l’Antiquité, notamment à Izieux où se situe le poste de garde de l’Aqueduc du Gier qui alimentait la ville antique de Lyon en eau, à Moingt, Saint-Galmier, Sail-les-Bains où se trouvent des stations thermales, ou encore à Roanne, la commune la plus dense du département, qui était un pôle important de passage commercial sous l’Antiquité.

29 janvier 1912

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Une délégation de femmes se rend au Palais Bourbon, à Paris, afin d’obtenir le droit de vote pour ces dames. Elle était menée par les journalistes et féministes Séverine et Marguerite Durand. Les femmes françaises ne se verront accorder ce droit que le 21 avril 1944.

Censurer au lieu d’expliquer

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Après les Dix petits nègres, le best-seller d’Agatha Christie débaptisé, c’est au tour des dessins animés de Disney, qui ont bercé notre enfance, d’être interdits sur la plate-forme de Disney + à nos enfants d’aujourd’hui.

Ainsi, Les Aristochats, Peter Pan et Dumbo, entre autres, ne seront plus permis au visionnage pour les enfants sans accord parental au préalable.

Les raisons : « Ces dessins animés sont jugés offensants, racistes, stéréotypés et avec des ‘descriptions culturelles démodées' », selon les dirigeants de la plate-forme. « C’est le cas du film « Les Aristochats », où un chat siamois est représenté avec les yeux bridés, de « Dumbo » avec des corbeaux caricaturant des Afro-Américains chantant le blues ou encore de « Peter Pan » dans lequel on découvre « Peaux-Rouges » très stéréotypés. Les dirigeants de la plateforme estiment que ces représentations à caractère raciste peuvent offenser car elles comportent ‘des descriptions négatives et/ou des mauvais traitements de certains peuples ou cultures' », a relaté Suruthi Srikumar sur le site aufeminin.

Au secours ! Dans quel monde arrivons-nous ? C’est quoi ce nouveau délire des bobos branchés blancs de vouloir s’absoudre des pêchés de leurs ancêtres en aseptisant notre société en devenir ? Pourquoi interdire au lieu d’expliquer ?

Autre époque, autre temps, autre mentalité, autre vision… Vouloir bannir tout cela ne permettra pas davantage une acceptation de la différence. Au contraire. L’interdiction amène toujours l’opposé.

En tous cas, lorsque nous étions enfants et regardions ces dessins animés, on ne voyait certainement pas tout ça. On s’attachait aux personnages, peu importe qui ils étaient.

Mais aujourd’hui, on voit le mal partout, surtout dans le passé, ça évite de regarder les vrais problèmes actuels… On scrute le moindre détail, sans importance. À croire que les experts ne sont pas qu’à Miami, à Los Angeles ou ailleurs….

Le cinéma en général, ce n’est que de la fiction, sauf si certains métrages (court ou long) sont inspirés de faits réels. Ce n’est aussi que l’expression d’un état d’esprit à un moment donné. Donc, pourquoi les adultes ne prennent pas le temps tout simplement d’expliquer, s’ils ont toutefois la connaissance, la mentalité d’une ancienne époque, la découverte d’autres peuples… ? Et si l’on est un tantinet soit peu intelligent, on peut comprendre le choc des cultures, d’un côté comme de l’autre.

Interdire n’empêchera pas le racisme ou toute autre forme de discrimination de perdurer. Enterrer un problème n’apporte pas sa solution. Tôt ou tard, il finit toujours pas réapparaître. C’est par la communication, l’explication que la réflexion se fait. Censurer est évité d’analyser afin de comprendre et d’arriver à l’ouverture d’esprit. Enfouir un passé existant ne changera rien à celui-ci. Ce qui a été fait est fait. Il faut au contraire en parler afin qu’il ne se reproduise ou qu’il persiste…

« L’ingénieuse technique des Mayas pour filtrer l’eau »

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« Dans la ville de Tikal, les Mayas avaient leur propre manière de filtrer l’eau. Une technique ingénieuse avec des composés toujours utilisés aujourd’hui dans ce même but. » Par Anne-Sophie Tassart sur le site du magazine Sciences et Avenir.

Carreau, Cœur, Pique et Trèfle ?

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Durant les périodes de confinement, les jeux de société ont aussi fait leur réapparition sur les tables familiales. Et les cartes à jouer demeurent un incontournable.

Mais, connaissons-nous l’origine des symboles sur les cartes à jouer ? D’où proviennent les carreau, cœur, pique et trèfle dessinés dessus ?

« Ce sont les cartiers français, installés à Rouen et à Lyon qui ont imaginé ces symboles au XVème siècle, deux noirs, et deux rouges, car ils étaient faciles à reconnaître, mais aussi facile à reproduire avec des tampons en bois. 

À l’époque, au XVème siècle donc, on trouvait des tas de motifs différents sur les cartes, des motifs qui plus est, multicolores, ce qui rendait la fabrication des cartes compliquée et très coûteuse. Avant le cœur, on trouvait des calices ou encore des roses. À la place du carreau, des grelots ou encore des pièces de monnaie symbolisées. A la place du trèfle on trouvait des glands ou des bâtons, et à la place du pique on trouvait des boucliers ou encore des épées !

Trèfle, cœur, carreau et pique qui les remplacent sont des motifs pleins, sans fioritures, et d’une seule couleur, donc, très facile à reproduire mécaniquement, à l’aide de tampons en bois trempés dans l’encre, alors que les motifs d’avant devaient être peints à la main puisqu’ils étaient multicolores et sophistiqués.

Comme souvent avec l’histoire des choses ou des mots, il y a cependant une autre explication : trèfle, cœur, carreau et pique auraient peut-être été inventés par Etienne de Vignolles, toujours au XVème siècle, pour être utilisés dans un jeu de carte de son invention, le jeu de Piquet. Les partisans de cette version rappellent que Vignolles a combattu aux côtés de Jeanne d’Arc, et qu’il était aussi appelé « La Hire », ce qui est l’autre nom du… Valet de cœur !

Quoi qu’il en soit, trèfle, cœur, carreau pique sont bel et bien une invention française, une de plus, qui a conquis le monde entier… À noter que ces symboles ont un sens caché : le trèfle, c’est la nature, donc, la paysannerie, le cœur, qui remplace un calice, c’est le clergé, l’Église, le carreau qui a remplacé la pièce de monnaie, symbolise la bourgeoisie marchande, et le pique symbolise et remplace l’épée, soit, la noblesse d’épée. Cela vous explique aussi pourquoi le pique est la carte la plus forte au jeu, et le trèfle, la plus faible ! »

Source : RTL