Le bar de ligne

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Bar commun ou bar européen (Dicentrarchus labrax), surnommé loup ou perche de mer, il est une espèce de poissons qui entre parfois en eau saumâtre et en eau douce. Il appartient à la famille des moronidés. Cette espèce en nette régression fait l’objet de mesures de gestion, par quotas pour la pêche récréative du bar sur le littoral ouest de la France, fixés sous l’égide de la Commission européenne.

Bien qu’il se trouve tout autour et à l’intérieur de l’Europe, y compris à l’est de l’océan Atlantique (de la Norvège au Sénégal), en mer Méditerranée et en mer Noire, il fait partie des produits typiques de la Bretagne.

Vous pouvez trouver de nombreuses recettes de cuisine le concernant, notamment sur le site marmiton.

Bon appétit !

Le homard breton

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Les homards (Homarus) forment un genre de crustacés décapodes vivant dans la mer et comprenant deux espèces :

• le homard européen (appelé en France homard breton) — Homarus gammarus (Linnaeus, 1758) ;
• le homard américain (appelé aussi homard canadien) — Homarus americanus (H. Milne Edwards, 1837).

Le homard se distingue facilement de la langouste par la présence de pinces imposantes et une carapace moins épineuse. Les écrevisses, vivant dans les eaux douces, sont les espèces lui ressemblant davantage, mais sont plus petites, bien qu’il existe en zone tropicale des écrevisses assez grandes pouvant évoquer la couleur et la forme d’un jeune homard.

En Europe, l’espèce se fait rare, en raison d’une surexploitation des stocks et de la pollution marine. En revanche, en Amérique du Nord, elle n’a cessé de croître durant les vingt dernières années.

Le homard européen est donc l’un des produits typiques du terroir breton et est reconnaissable de par la particularité de sa couleur bleue. Il est d’ailleurs également appelé homard bleu breton. De nombreuses préparations culinaires lui est consacré. Vous pouvez trouver des recettes de cuisine du homard bleu, notamment sur le site le Journal des Femmes sous sa rubrique Cuisine.

Bon appétit !

Les huîtres

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La dénomination vernaculaire huître désigne les mollusques marins bivalves de la famille des Ostreidae, plus largement de la super-famille des Ostreoidea. Les huîtres ne vivent que dans l’eau salée ou saumâtre et se trouvent dans toutes les mers. Ces mollusques sessiles vivent à l’état naturel fixés sur un substrat rocheux.

Espèces ingénieures qui ont la capacité, en s’installant sur le fond, de créer un habitat favorable à de nombreux autres organismes vivants, elles forment des mini-récifs biogéniques, véritables oasis de biodiversité, et rendent de nombreux autres services écosystémiques. Ces récifs ont souvent dominé les estuaires du monde entier, alimentant les économies côtières et les civilisations depuis les temps préhistoriques. Or, des siècles d’extraction et la dégradation du littoral ont entraîné la quasi-extinction des récifs naturels. Il existe néanmoins quelques projets de restauration de récifs d’huîtres.

Cf. Wikipédia.

En outre, elles font partie des produits typiques du terroir breton. Impossible de se rendre en Bretagne sans déguster des huîtres.

Bon appétit !

Faut-il manger plus gras quand il fait froid ?

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En cette période de froid, la tendance penche sur les aliments plus gras, sans compter sur Noël qui arrive à grands pas. Et durant ce moment festif, les repas se veulent copieux.

Or, une alimentation trop riche nécessite la production supplémentaire d’enzymes pour la digestion. Celle-ci lèse l’organisme dans sa lutte contre le froid et les maladies.

Cet excès de digestion demande plus d’effort au corps qui se fatigue et lui laisse ainsi moins d’énergie pour combattre les rhumes et autres virus fréquents en hiver.

Une trop grande consommation de gras, comme de sucre d’ailleurs, perturbe même la flore intestinale. Elle abaisse aussi la résistance du corps aux bactéries très présentes dans les endroits confinés pour s’abriter du froid.

L’alimentation recommandée se porte donc sur une consommation plus vitaminée, comme une soupe de légumes par exemple. Elle permet de manger des légumes tout en hydratant l’organisme souvent asséché par le chauffage intérieur.

De nombreux sites Internet dresse une liste des aliments conseillés à consommer en période de froid, dont le site iterroir.fr par exemple.

Cependant, il est inutile de se priver de ces repas de fête. Il suffit de consommer avec modération. Profiter ne signifie pas se gaver. Le plus important est de veiller à une alimentation plus diététique entre Noël et le jour de l’an.

13 décembre 1903

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Le new-yorkais d’origine italienne Italo Marchiony obtient le brevet pour le cornet à glace, qu’il affirme vendre depuis 1896.

23 juillet 1904

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Apparition du cône glacé ou cornet de glace à l’exposition universelle de Saint-Louis aux États-Unis.

Les salades froides

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Le mois de mai est le cœur du printemps et annonce doucement l’arrivée de l’été. Le célèbre dicton populaire dit d’ailleurs : « En avril, ne te découvre pas d’un fil, en mai, fais ce qu’il te plaît ». C’est donc le mois où les repas frais commencent à se servir sur nos tables. Et les salades froides deviennent alors des plats incontournables.

Le site Demotivateur Food, entre autres, vous proposent des idées de salades originales pour l’été, mais pouvant être aussi printanières. Savoureuses et faciles à réaliser, ces salades raviront vos papilles !

16 avril 1921

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Naissance de La Vache qui rit, le tout premier fromage fondu en portions, dont le brevet est déposé par l’industriel et homme d’affaires français Léon Bel.

Précision sur l’anti-mouche naturel

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Le 18 août dernier, une astuce pour vous débarrasser des mouches qui pourraient envahir votre habitation vous a été proposée sur ce blog. Il s’agissait d’un oignon épluché, coupé en deux, piqué de nombreux clous de girofle et placé à l’endroit voulu.

Or, une petite précision est à apporter. Le choix de l’oignon en question. Un point important. Je vous explique pourquoi.

J’ai testé la première fois cette astuce avec un oignon jaune et le résultat a été sans appel. Plus de mouches à l’horizon ni à des mètres à la ronde et pas d’odeur forte. N’ayant plus d’oignon jaune, j’ai alors utilisé un oignon rouge. Et là, le résultat fut tout autre. Des mouches rebelles et un parfum puissant d’oignon qui, à défaut d’avoir chasser toutes les mouches, a mis en fuite moi. Cette senteur était si imposante qu’elle me donnait l’impression d’être l’oignon ou de vivre à l’intérieur même de l’oignon, une maison d’oignon…

Donc, cette astuce fonctionne uniquement avec l’oignon jaune et est à renouveler tous les 4 à 5 jours maxi.

Un anti-mouche naturel

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Il est difficile de ne pas être envahi de mouches quand on habite à la campagne, encore plus lorsque des pâturages remplis de vaches se situent à dix mètres de sa maison.

Il existe des solutions pour faire fuir ces petites bêtes volantes. Par exemple. Les insecticides. Pas vraiment en ce qui me concerne, encore moins vis-à-vis de la nature. Les rubans attrape-mouches à accrocher. Pas trop esthétiques, surtout complètement inefficaces. Les mouches se collent partout sauf sur ces longues bandes brunes affreuses. Etc.

Il y a aussi des astuces plus naturelles et qui fonctionnent. L’une d’entre elles a été évoquée à la radio RTL. Un oignon coupé en deux, dans lequel on pique de nombreux clous de girofle, posé sur une petite assiette ou sur un papier alu. On le place ensuite, bien évidemment, dans le lieu où se trouvent les mouches.

J’ai testé cette petite astuce depuis la semaine dernière avant de vous la partager, afin de vérifier son efficacité ou pas.

Hé bien ! Je vous assure ! Ça marche !

Non seulement, il n’y a plus aucune mouche, ce qui est à la base le but recherché, mais également, il n’y a pas d’odeur forte d’oignon qui imprègne les lieux. Ce qui est toutefois aussi important, car l’oignon a quand même une senteur assez spécifique et dérangeante parfois, surtout lorsqu’elle devient présente 24h/24.